Développer la notoriété de SOCOREC

 

#GOUVERNANCE    SOCOREC est reconnue pour son savoir-faire mais pas assez connue : c’est le constat dressé par son nouveau Président, Nicolas Queneau. Le Directeur administratif et financier du groupement GADOL OPTIC 2000 souhaite promouvoir SOCOREC pour renforcer sa notoriété auprès des groupements et de leurs associés. 

 Quel est votre parcours chez GADOL OPTIC 2000 ? 

J’ai intégré le groupement en novembre 1997 en tant que contrôleur de gestion. Après le transfert du siège de Poitiers à Paris, je suis devenu responsable du contrôle de gestion pendant 10 ans, puis responsable comptable avant d’être Directeur administratif et financier depuis 2016. Je n’ai pas le sentiment d’être dans la même entreprise depuis mon arrivée. Nous sommes passés d’une PME familiale avec 200 magasins à une ETI avec plus de 2000 points de vente. Depuis 25 ans, le périmètre s’est élargi avec notamment la création d’AUDIO 2000, d’Optic Swiss Services et le rachat de LISSAC. 

Vous succédez à Yves Martin-Delahaye qui a présidé SOCOREC pendant 17 ans. Comment abordez-vous vos nouvelles responsabilités ?   

Je tiens d’abord à remercier les administrateurs pour la confiance qu’ils m’ont accordée. Je sais aussi que je peux compter sur le soutien d’Yves Martin-Delahaye, toujours disponible pour la moindre question. C’est un passage de témoin en douceur. A moi de trouver le bon rythme entre mes fonctions de directeur administratif et financier chez GADOL OPTIC 2000 et la présidence de SOCOREC.  

Quelles sont vos ambitions pour SOCOREC ? 

Je m’inscris dans la continuité d’Yves Martin-Delahaye qui a toujours su défendre les intérêts de SOCOREC et contribué à pérenniser l’entreprise. Mon objectif est de développer la notoriété de SOCOREC avec l’aide de l’équipe en place dirigée par Eric Holzinger. Trop d’opportunités nous échappent encore. Pourtant, les emprunteurs saluent le savoir-faire de SOCOREC, sa connaissance pointue de l’univers coopératif, sa fluidité et sa rapidité.  Aujourd’hui, nous devons mieux promouvoir l’entreprise auprès des têtes de réseaux, des responsables du développement de chaque groupement et des associés. Il faut d’abord avoir le réflexe SOCOREC avant de penser à son banquier !
Ce développement doit aussi se faire naturellement avec le Crédit Coopératif pour associer nos forces. Le potentiel commun est encore énorme pour capitaliser sur un partenariat solide de 60 ans.  

Quelles sont les autres évolutions possibles ? 

Varier l’offre SOCOREC. Depuis quelques mois, SOCOREC propose un nouveau service d’analyse financière qui est un outil d’amélioration continue à la fois pour les groupements et leurs adhérents. D’autres réflexions sont en cours pour accompagner les adhérents et répondre à leurs besoins. 

 

 

Yves Martin-Delahaye, singulier pluriel

 

#GOUVERNANCE Avec Yves Martin-Delahaye, le « je » se transforme vite en un « nous » collectif.  Celui qui cesse son activité professionnelle quitte aussi ses mandats au long cours : 29 ans Administrateur puis Président de SOCOREC, 23 ans Administrateur de la Fédération du Commerce Coopératif et Associé (FCA) et 21 ans Président du Directoire du groupement GEDEX et de ses enseignes GEDIMAT et GEDIBOIS. 

 

Quels sont les principaux ressorts de tous vos engagements ? 

L’engagement fait partie de mon ADN. Cela peut prendre du temps, mais c’est du temps utile. Nous sommes à la fois indépendants dans nos décisions et soudés par des valeurs communes. Travailler pour le collectif permet à chacun d’apporter sa pierre à l’édifice, et fédérer ce collectif est exaltant.  L’implication individuelle, le partage des compétences et des expériences nous permet de réunir nos forces pour faire grandir et avancer le réseau, le pérenniser et cela profite à chaque adhérent.  C’est un cercle vertueux.  

Quels sont les liens entre la FCA et SOCOREC ? 

J’ai connu l’époque où le directeur de SOCOREC et le délégué général de la FCA, qui s’appelait encore UFCC, ne faisait qu’un. Mais la réglementation bancaire a imposé des contraintes plus fortes à SOCOREC. Voilà pourquoi des dirigeants ont été recrutés pour chacune des entités. Aujourd’hui, l’essentiel des adhérents de la FCA et de SOCOREC sont communs, même s’il subsiste des différences. 

Qu’apporte SOCOREC au commerce coopératif et associé ? 

SOCOREC est l’illustration des bienfaits des outils collectifs. Créée par et pour les commerçants associés, c’est une coopérative financière qui a une connaissance fine des réseaux et des interlocuteurs. Elle comprend les projets bien au-delà des chiffres et fait preuve d’une plus grande réactivité qu’une banque classique plus dogmatique.  

Quelles ont été les principales évolutions de SOCOREC ? 

Depuis 1963, SOCOREC est une société qui apporte une garantie aux prêts versés par d’autres établissements bancaires dont principalement le CREDIT COOPERATIF. En 1996, d’autres solutions viennent enrichir l’offre de SOCOREC, dont les prêts classiques mais surtout les prêts participatifs. Ces derniers sont une exclusivité SOCOREC : ils permettent de doubler l’apport de l’emprunteur.  

Quel a été l’un de vos souvenirs les plus marquants ? 

Le développement et la dynamique de SOCOREC depuis 3 ans qui répond parfaitement aux besoins de nos réseaux. Par exemple, je suis particulièrement fier de la reprise du négoce et de l’outil industriel de GEDIMAT-GRANVILLE MATERIAUX en 2022, (comme cela à été fait en 2021 avec les 7 points de vente de GDEDIMAT JACQ-HENRIO). Ce négoce était en portage par le groupement depuis 10 ans. Le groupement GEDEX a ainsi aidé son dirigeant salarié à reprendre l’entreprise avec deux salariés, en location gérance*. Le dossier était ambitieux mais grâce à l’implication de GEDEX, de SOCOREC et du CREDIT COOPERATIF, l’opération a pu être réalisée avec sérénité. La combinaison de ces outils permet à des entreprises de préserver leur pérennité dans l’indépendance et ainsi éviter une plus forte concentration par quelques plus gros adhérents, voire une perte de l’enseigne par cession extérieure. L’écosystème joue également un rôle d’ascenseur social en permettant à des salariés de devenir associés.  

Comment voyez-vous l’évolution et l’avenir de SOCOREC ? 

SOCOREC connaît une nouvelle dynamique avec l’arrivée de son nouveau directeur général fin 2019. La trajectoire est claire et le développement constant. Les relations entre le CREDIT COOPERATIF et SOCOREC sont de plus en plus constructives dans une complémentarité bien comprise.  Dans la mesure où mon activité professionnelle s’arrête, je passe la main sereinement. SOCOREC est aujourd’hui une société pérenne, rentable avec une équipe structurée. 

Partenariat myCo SOCOREC : construction d’une plateforme de données sécurisées et consenties

#INNOVATION Comment rester maître de vos données à tout moment ? C’est le défi relevé par myCo, la première coopérative de données éthiques, qui propose à chaque entreprise un portefeuille de données sécurisées, traçant les partages et les consentements accordés. En partenariat avec SOCOREC, myCo a adapté son modèle au secteur bancaire. Entretien avec Arnaud Blanchard, un des deux fondateurs de cette coopérative. 

Pourquoi avez-vous créé myCo ? 

Les données des entreprises et des particuliers sont le carburant de l’économie moderne. Elles sont pilotées par des entreprises privées capitalistiques ou des gouvernements.  J’ai moi-même travaillé pour des sociétés américaines de data et je voulais créer un modèle disruptif. Avec Michel et Lionel Garcia, les co-fondateurs, nous avons mené une réflexion avec des industriels lyonnais pour trouver un modèle éthique, avec une gouvernance partagée, porté par une structure juridique indépendante. La coopérative s’est imposée à nous.  

Quelles sont les garanties apportées par le modèle coopératif myCo ? 

myCo est la première coopérative française de données éthiques qui s’appuie sur la technologie du consentement. Au sein d’un espace privé et sécurisé, elle garantit à chaque utilisateur le contrôle de ses données personnelles, la possibilité de partager ou non ses données avec des organisations de son choix et de révoquer ce consentement à tout moment. La confiance et le respect sont au cœur de notre système. Être sociétaire myCo, c’est l’assurance que ses données ne seront jamais vendues à un tiers. 

Que vous apporte le partenariat avec SOCOREC ? 

SOCOREC est la première société du secteur bancaire à nous avoir fait confiance. C’est avec elle que nous avons co-construit le parcours de connaissance client (KYC, Know Your Customer) afin d’identifier, collecter, vérifier et traiter les documents qui sont demandés à une société pour un prêt ou un cautionnement. Nous adaptons ce modèle en permanence en créant de nouvelles fonctionnalités pour répondre aux besoins. Nous avons ainsi intégré la signature électronique récemment. 

Comment évolue vos partenariats ? 

La gestion de la donnée consentie peut aller bien au-delà de la relation liée au financement et de nouvelles applications sont à l’étude dans le cadre des projets de diversification de SOCOREC.  Par ailleurs, le modèle myCo est dynamique et évolue en permanence en se déclinant dans d’autres secteurs d’activité, comme l’immobilier et le tourisme.  

Consolider le réseau, mais pas à n’importe quel prix !

 

#GROUPEMENT Avec 220 magasins U exploités sous les enseignes Hyper U, Super U et U Express détenus par 160 associés, la Coopérative U ENSEIGNE EST mise d’abord sur les hommes pour pérenniser son réseau. 40 % des transmissions sont accompagnées par SOCOREC. Entretien avec Emmanuel Choffel, Responsable ingénierie financière, Coopérative U ENSEIGNE EST  

 Comment consolidez-vous le réseau Est ? 

Les transmissions d’entreprise représentent l’essentiel de l’activité du service Ingénierie Financière dans la région Est. Nous en avons réalisé treize en 2022 outre l’attribution de trois créations. Nous avons peu de ralliement, voire d’acquisitions de magasins exploités par des distributeurs concurrents du fait de la complexité des contrats juridiques propres à chaque enseigne, sauf lorsque l’enseigne concurrente décide elle-même de céder des points de vente (Cas des hypermarchés Casino en 2019 et 2020).  

Comment contenir l’inflation des prix sur les transactions d’entreprises ou les points de vente ? 

SYSTEME U a mis en place l’offre préalable de vente (OPV) au début des années 2000. L’associé propose la cession de son fonds de commerce ou des parts de sa société au groupement qui trouve un associé repreneur ou s’engage à reprendre lui-même l’affaire. Le prix de vente est fixé par l’associé avec l’aide de son expert-comptable. Si le groupement conteste le prix, il nomme son propre expert-comptable. L’idée est de trouver un compromis pour valoriser l’entreprise de l’associé à son juste prix tout en permettant au repreneur de s’assurer le soutien des établissements financiers. Mais nous restons vigilants sur le profil des repreneurs : n’est pas dirigeant U ENSEIGNE qui veut ! 

Quels sont les critères ? 

Il faut d’abord se sentir proche des valeurs de notre enseigne, partager un engagement social, local et environnemental à l’égard des collaborateurs, des clients et des producteurs. Les postulants ont une série d’entretiens avec un jury d’associés et le taux de sélection est élevé. Passé cette première étape, le candidat suit un parcours de formation à la fois théorique et pratique en magasin pendant 18 ou 24 mois et peut être recalé à tout moment. Cette exigence est un gage de réussite à la fois pour le futur repreneur et le groupement.  

Pourquoi le choix SOCOREC ? 

Depuis de nombreuses années, nous avons des relations privilégiées avec SOCOREC qui a une bonne connaissance de notre secteur d’activité et sait être réactive. Sur les dix / douze transmissions par an, 40 % sont régulièrement accompagnées par SOCOREC. Le prêt participatif est un produit phare : il double l’apport du repreneur et permet de commencer le remboursement du capital 3 ou 5 ans après le début de l’emprunt. C’est donc moins de pression pour l’emprunteur au démarrage.  

 

Seule on va plus vite, ensemble on va plus loin !

 

#TEMOIGNAGE Ce proverbe africain résume l’itinéraire d’Alexandra Nunes de Castro, passée du statut de salariée à celui de dirigeante. A 39 ans, elle vient d’acquérir son deuxième institut PASSION BEAUTE, accompagnée par le groupement et SOCOREC.   

Qu’est-ce qui vous a séduit dans l’univers de la beauté ? 

La polyvalence ! Après un BAC scientifique et un BTS Esthétique et cosmétique, je suis recrutée en 2004 par un institut qui passe sous l’enseigne PASSION BEAUTE. J’y vois l’opportunité d’élargir mon champ de compétences en mettant en place l’informatisation des stocks, tout en suivant des formations sur les dernières innovations des marques. Mon dynamisme et ma soif d’apprendre convainquent ma patronne de me nommer responsable d’une, puis deux, puis trois boutiques. Entre 2011 et 2016, le rythme est effréné entre la gestion des équipes, des stocks et la comptabilité. Lorsque ma responsable me propose de racheter l’institut de Château-Thierry, j’hésite longuement avant d’accepter. Et je comprends vite que la vie d’un chef d’entreprise ressemble à des montagnes russes.  

 Quelles difficultés rencontrez-vous lors de ce premier rachat ? 

A cette époque, le groupement PASSION BEAUTE est en pleine restructuration et je ne connais pas SOCOREC. Je suis seule, inexpérimentée, mais je finis par décrocher un prêt initiative auprès de la région et un financement bancaire. Mon projet est mal ficelé, mon besoin en fonds de roulement sous-estimé et le contexte extérieur défavorable :  manifestations des Gilets jaunes, puis travaux de voiries devant mon institut et crise sanitaire.  Malgré les nuits d’angoisse, je ne lâche rien : je mets en place le click and collect et je fais moi-même les travaux de rénovation de mon institut. J’apprends à transformer les difficultés en nouvelles opportunités. 

 Qu’est-ce qui vous a motivé pour racheter le deuxième institut à La Ferté-sous-Jouarre ? 

Cette fois, je suis soutenue et accompagnée par des experts du réseau PASSION BEAUTE qui me font également connaître SOCOREC et ses solutions de financement. Je découvre des professionnels bienveillants, disponibles, à l’écoute et très pédagogues, prenant le temps de m’expliquer des termes que je ne connais pas. SOCOREC me fait confiance et m’accorde un prêt avec un an de différé, ce qui serait très difficile dans tout autre établissement financier. J’aurais aimé avoir connu SOCOREC dès le début de mon aventure entrepreneuriale. 

 

Innovation : l’assurance emprunteur SOCOREC

#INNOVATION Assurance emprunteur : choisissez le contrat individuel sur-mesure grâce au nouveau service SOCOREC, en partenariat avec un des leaders du marché. C’est un contrat simple à comprendre, rapide à souscrire (100 % digital avec signature électronique) et offrant un large éventail de garanties : décès, perte totale et irréversible d’autonomie, invalidité permanente totale, incapacité temporaire de travail, invalidité permanente partielle, invalidité professionnelle, etc. En cas de changement de situation, vous bénéficiez de l’irrévocabilité, le maintien des garanties dans les mêmes conditions que lors de la signature du contrat. L’assurance emprunteur SOCOREC propose également des options qui s’adaptent à chaque profil. Reconnue meilleure assurance emprunteur aux Oscars 2022 de l’Assurance vie, elle offre une couverture complète sur toute la durée de votre prêt, y compris les prêts in fine de 7 ou 10 ans et les prêts avec plus de 3 ans de franchise. SOCOREC vous propose également la délégation d’assurance quel que soit votre financeur pour réaliser de belles économies ! 

Pour tout renseignement : contact@socorec.fr 

Groupement Optic 2000, voir plus grand avec SOCOREC !

#GROUPEMENT Avec près de 2 000 magasins répartis sur toute la France, le groupement GADOL et ses enseignes Optic 2000, Lissac et Audio 2000, poursuivent leur stratégie de développement pour renforcer leur présence et leur positionnement. Entretien avec Rodolphe Wolter, Directeur Développement et Concept du groupement.

Quelle est la stratégie de développement du groupement Optic 2000 ?

Le plan stratégique “Vision 2025” a une triple ambition. D’abord, étendre notre visibilité sur tout le territoire avec l’ouverture de plus de cent magasins par an sur l’ensemble de nos enseignes. Ensuite accueillir, intégrer et accompagner tout entrepreneur qui souhaite rejoindre le groupement. Enfin positionner les opticiens Optic 2000 comme les coachs de la santé visuelle des Français et être l’enseigne référente sur l’équipement sportif adapté à la vue, en lien avec notre statut de supporteur officiel des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.

Comment votre service accompagne-t-il cette dynamique de croissance ?

Nous sommes passés de quatre à six développeurs afin de mieux connaître les besoins de nos magasins et être des acteurs locaux de l’immobilier commercial, afin de saisir les meilleures opportunités. Nous avons mis en place des outils d’analyse performants pour étudier le chiffre d’affaires potentiel et pour qualifier l’emplacement : l’exposition aux flux piétons ou voitures, le profil des clients potentiels, les commerces à proximité, la présence de transports en commun, etc.  Même si nos magasins sont majoritairement en centre-ville, nous étudions aussi les opportunités dans les parcs d’activités commerciales.

Quelle place occupe SOCOREC dans cette stratégie de développement ?

SOCOREC a une connaissance approfondie des métiers de l’optique et de l’audioprothèse et une bonne compréhension des dossiers. Depuis des années, notre relation est basée sur la confiance réciproque. Nous orientons de plus en plus nos prospects et nos adhérents vers les prêts proposés par SOCOREC, en particulier le prêt participatif qui permet de consolider les fonds propres et de rassurer les banques pour finaliser un montage financier.

SOCOREC au salon 100 % digital dédié aux pharmaciens 

 

#INNOVATION  SOCOREC poursuit sa stratégie d’investissements dans les projets innovants et rejoint « Les rencontres digitales de la pharma », le tout premier salon virtuel dédié au secteur pharmaceutique. Depuis octobre 2022, le site Web propose aux pharmaciens d’être mis en relation avec plusieurs groupements, des cabinets d’avocats et d’experts-comptables, ainsi que des sociétés de financement pour la reprise ou le développement de leur officine. Créé par Christophe Hirth et Philippe Woerth, le salon 100 % digital est le prolongement de « Choisir mon groupement », un comparateur indépendant pour aider les pharmaciens à identifier le groupement qui répondra au mieux à leurs besoins spécifiques.Les pharmaciens se rendent de moins en moins dans les salons professionnels, en raison des contraintes de déplacement et du manque de temps. Avec le salon virtuel ouvert 24h/24 et 7j/7, ils peuvent entrer en contact avec les acteurs de leur choix, au moment où ils le souhaitent et quand ils en ont besoin ”, souligne Christophe HirthSur son stand situé dans le hall 2 du salon, SOCOREC présente ses prêts à moyen et long terme, ainsi que son produit phare, le prêt participatif, des quasi-fonds propres qui permettent de doubler l’apport du pharmacien. SOCOREC renforce ainsi sa présence dans l’écosystème coopératif et prolonge son partenariat étroit avec les principaux groupements pharmaceutiques 

Nouveau service d’analyse financière SOCOREC

 

 

#INNOVATION SOCOREC innove et propose un service d’analyse financière pour les groupements et leurs adhérents. Objectifs : améliorer la performance financière de chaque commerce associé et donner plus de visibilité sur le réseau. Entretien avec Delphine Mahon, Directrice générale adjointe SOCOREC.

Pourquoi ce nouveau service financier ?

Nous avons identifié des besoins à la fois au niveau collectif et individuel. Certains de nos groupements souhaitent avoir de l’information sur la santé financière de leur réseau, sans avoir pour autant les moyens de mettre en place un outil informatique et une équipe dédiée en interne. Quant aux commerçants associés, ils aimeraient avoir une connaissance plus approfondie de leur bilan et disposer de leviers d’action pour améliorer leur performance. Notre solution propose d’externaliser les outils et le suivi de la performance financière de chaque commerçant et d’optimiser la visibilité sur l’ensemble du réseau pour mieux le piloter.

Comment s’articule l’offre pour le groupement ?

C’est une offre à la carte qui s’adapte à l’évolution des besoins et à l’organisation interne. Chaque groupement dispose d’un accès sécurisé à la solution Synergee, dans laquelle sont centralisées les études de bilan des commerçants associés. Il accède ainsi à des analyses financières consolidées qui lui permettent de faire un benchmark sur des panels personnalisables : comparaison régionale, chiffre d’affaires moyen au mètre carré, taux de marge brute, poids des frais de personnel, etc. C’est un outil d’amélioration continue à la fois pour le groupement et ses adhérents.

Quels sont les principaux bénéfices pour le commerçant associé ?

Nous proposons une analyse financière détaillée des documents comptables : les grands équilibres financiers, les ratios de gestion, les points forts de l’entreprise, les points d’amélioration. Cela permet surtout au commerçant de se positionner par rapport aux performances de son réseau. C’est aussi l’opportunité pour lui de bénéficier de recommandations sur-mesure afin d’optimiser la rentabilité et la trésorerie de son entreprise.

Pourquoi souscrire à l’offre SOCOREC plutôt qu’à une autre ?

L’analyse financière est notre cœur de métier depuis 60 ans. Nous avons également une relation de proximité avec chacun de nos adhérents : nous connaissons mieux que quiconque leur secteur d’activité et leurs problématiques. De plus, par nos activités, nous sommes tenus à la plus grande confidentialité.  Enfin, nous partageons le même ADN que nos groupements puisque ce sont eux qui ont créé SOCOREC.

« Le prêt participatif SOCOREC : une arme de développement massif »

 

 

#TEMOIGNAGE En 20 ans, Pascal Beranger a connu un développement rapide de son activité puisqu’il est à la tête de seize magasins KRYS. Pour l’accompagner dans son succès : la confiance toujours renouvelée de SOCOREC et son financement phare, le prêt participatif. 

Quelles étaient vos principales difficultés lors de la reprise de votre premier magasin KRYS ? 

En 2003, je n’avais aucun apport personnel, le magasin que je souhaitais reprendre n’était pas encore rentable et les établissements bancaires refusaient de s’engager. Les propriétaires cédants m’ont alors mis en relation avec le groupement KRYS qui connaissait bien SOCOREC. Très vite, un montage financier a été trouvé. SOCOREC m’a accordé un prêt participatif pour renforcer mes fonds propres et un prêt classique. Un gage de confiance qui m’a permis de lancer mon business. 

 Quelles sont les principales différences entre SOCOREC et les établissements bancaires classiques ? 

J’ai d’abord été séduit par la qualité de mes interlocuteurs : toujours présents tout en gardant la bonne distance, pragmatiques puisqu’ils connaissent bien le commerce, et déterminés à trouver des solutions. J’apprécie aussi leur réactivité quand des établissements bancaires classiques mettent parfois plusieurs mois à répondre. Lorsqu’une opportunité de rachat se présente, j’ai besoin d’une réponse rapide pour débloquer des fonds.  

En quoi le prêt participatif SOCOREC est-il une des clefs de votre réussite ? 

En 20 ans, j’ai fait l’acquisition de seize boutiques. Ce développement rapide a nécessité à chaque rachat un renforcement de trésorerie. Le prêt participatif SOCOREC permet de consolider les fonds propres et de rassurer les banques pour finaliser un montage financier. Pour moi, le prêt participatif SOCOREC est donc une arme de développement massif. 

Quels sont vos projets pour les années à venir ? 

J’ai emprunté ma devise à celle d’HEC : apprendre à oser et à s’entourer. J’ai toujours l’ambition de me développer. C’est ma passion et je ne me donne pas de limite. J’ai formé à mes méthodes deux collaborateurs que j’associe à hauteur de 20% à tous mes projets depuis 10 ans. Et c’est à SOCOREC que je continuerai de confier les montages financiers. Il ne faut jamais oublier qui vous a aidé en premier.