Comprendre votre projet bien au-delà des chiffres

 

 

#TEMOIGNAGE Reprise de négoce ET de l’outil industriel : trop complexe pour les établissements bancaires. Pour financer leur projet global, Laurent Delhay et ses deux associés trouvent alors chez SOCOREC et le CREDIT COOPERATIF des interlocuteurs ouverts et réceptifs.   

Comment êtes-vous passé du statut de salarié à celui d’associé ? 

J’ai été dirigeant mandataire de GEDIMAT-GRANVILLE MATERIAUX pendant trois ans pour optimiser l’organisation de l’entreprise. Le groupement GEDEX et moi-même avions le même objectif :  reprendre l’activité mais je ne voulais pas être seul aux commandes. En 2021, j’ai proposé à deux piliers de l’entreprise, le directeur commercial et le directeur informatique, de s’associer avec moi. Nous avons beaucoup échangé sur ce changement de statut et les impacts sur notre vie familiale. En 2022, nous avons sauté le pas : les trois associés détiennent 82 % du capital de l’entreprise et le groupement GEDEX 18%. 

Quelles étaient les principales difficultés pour financer cette reprise d’activité ? 

SOCOREC et le groupement GEDEX, qui est fier de redonner à ses collaborateurs leur autonomie capitalistique, nous ont accordé des prêts pour renforcer nos fonds propres. Mais nous voulions reprendre à fois le négoce de matériaux de construction et l’usine de fabrication de blocs béton et de longrines sur mesure. Les établissements bancaires classiques se montraient frileux : ils refusaient de financer les stocks ou l’outil industriel dont la durée de vie est à mi-parcours. Or, nous avions besoin d’un financement pour l’ensemble du projet. La visite sur site du directeur général de SOCOREC a été déterminante. 

En quoi l’approche de SOCOREC est-elle différente des établissements bancaires classiques ? 

Pour SOCOREC, l’évaluation d’un projet n’est pas qu’une affaire purement comptable. C’est aussi une bonne compréhension du dossier et une relation humaine basée sur la confiance. Le montage financier était complexe entre le CREDIT COOPERATIF, le groupement GEDEX et SOCOREC mais nous sommes parvenus à un accord. Pendant tout le processus, SOCOREC est restée à l’écoute, toujours accessible et réactive. C’est aussi cela la force de SOCOREC : s’investir pleinement dans la relation client.  

Partager le même ADN, un gage de réussite

 

 

#TEMOIGNAGE  Complémentaires. C’est ainsi que se définissent Jean-Luc Sfez, associé gérant du groupe DSA (audit et conseil) et Franck Jaulneau, directeur général et fondateur de Elegant Properties Collection qui compte quatre établissements hôteliers. Complémentaires et bien accompagnés puisque les associés peuvent compter sur BEST WESTERN et SOCOREC pour leurs projets.  

Comment êtes-vous passé de l’univers de la comptabilité et de l’audit à celui de l’hôtellerie ? 

Jean-Luc Sfez : Depuis la création du groupe DSA, nous accompagnons personnellement des dirigeants propriétaires de leur entreprise. Ma première expérience avec Franck Jaulneau date de l’acquisition d’un hôtel en liquidation judiciaire à Megève, rénové et revendu quatre ans plus tard à un groupe hôtelier. Nous sommes désormais quatre associés au sein du groupe Elegant Properties Collection, fondé et dirigé par Franck Jaulneau.  

Aujourd’hui le groupe est propriétaire de quatre établissements hôteliers. Quels sont les facteurs de réussite d’un projet ?  

Franck Jaulneau : Une absence d’ego ! Jean-Luc SFEZ et moi-même sommes très complémentaires. Nous avons chacun nos champs de compétences et d’expertises mais nous sautons souvent la barrière pour aller dans le pré carré de l’autre et faire des suggestions. Nous sommes au service d’un projet et non d’une ambition personnelle. 

Comment avez-vous connu SOCOREC ? 

Franck Jaulneau : Nos hôtels sont affiliés à Best Western qui, dès le début de la crise sanitaire, a proposé des webinaires sur des thématiques variées à ses adhérents. C’est lors d’un webinaire sur le financement de projet que j’ai découvert SOCOREC.  A cette époque, nous voulions acheter le Grand Hôtel d’Orange. J’ai échangé avec une responsable Best Western qui connaît bien SOCOREC, une société de financement très différente des établissements bancaires classiques. 

Jean-Luc Sfez : Le poids de la réglementation bancaire pèse sur les pratiques des établissements. Tout relève de ratio d’endettement, excess cash-flow, niveau de risque sans aucune dimension humaine.  Mon premier contact avec Nolwenn, chargée de financement chez SOCOREC, m’a inspiré confiance. Elle s’est réellement intéressée au projet. Après une analyse approfondie, elle était prête à le défendre en comité de crédit comme s’il s’agissait de son propre établissement. SOCOREC a le même code génétique que nous : bien connaître ses clients, comprendre ses problématiques et apporter des solutions. 

Best Western et SOCOREC vont-ils accompagner vos futurs projets ? 

Franck Jaulneau : Nous avons l’ambition de racheter et de rénover plusieurs établissements hôteliers et d’en faire des lieux d’exception. Ceux de demain seront tous affiliés à Best Western. C’est un groupement qui connaît chaque hôtel. Dès le début de la crise sanitaire, il a soutenu les hôteliers avec des webinaires pour mieux les accompagner au quotidien et créé une école hôtelière en ligne.  Avec SOCOREC, nous avons une relation exceptionnelle, à la fois professionnelle et humaine. Nous avons envie de grandir avec des partenaires en qui nous avons confiance et qui nous font confiance. 

Accompagner des projets complexes

 

 

#TEMOIGNAGE  Frédéric Walle aime conjuguer passé, présent et futur durable. A 40 ans, ce propriétaire de cinq magasins U Express a commencé en mai 2022 les travaux de réhabilitation d’une friche industrielle à Vernaison, au Sud de Lyon, pour y implanter un supermarché U de 1 000 m2. Un projet ambitieux et complexe soutenu par SOCOREC. 

Qu’est-ce qui vous a séduit dans ce projet de friche industrielle ? 

Les Français ont un ras-le-bol croissant de voir l’entrée des villes, même les plus petites, enlaidies par le pullulement d’enseignes et de pancartes.  La friche industrielle de l’usine textile de Vernaison est au cœur de la commune. En réhabilitant le patrimoine historique, nous revitalisons le centre-ville et nous embauchons de la main-d’œuvre locale. Nous favorisons aussi le développement de circuits courts avec des agriculteurs et des producteurs de proximité pour proposer des produits de qualité, des rayons de boucherie, charcuterie et fromagerie à la coupe et une boulangerie artisanale pour répondre aux nouvelles attentes des consommateurs.  

Pourquoi le montage financier de ce projet est-il complexe ? 

Je suis un nouvel associé du réseau Système U et j’étais sous-capitalisé pour monter ce projet. Les banques n’étaient pas enclines à me faire confiance pour m’octroyer un prêt. L’ingénierie financière du groupement m’a alors mis en contact avec SOCOREC que je ne connaissais pas. La rencontre avec son directeur général a été déterminante : il était persuadé de la qualité du projet. Sa bonne connaissance du réseau Système U et ses conseils stratégiques m’ont permis de revoir toute l’architecture capitalistique et financière du projet. 

Quels sont les soutiens financiers apportés par SOCOREC ? 

SOCOREC est un puissant levier financier. Grâce à son prêt participatif, j’ai renforcé les quasi-fonds propres de ma holding. Les banques étaient rassurées par le montant de mon apport personnel et par la réputation de solidité de SOCOREC. J’ai également obtenu un prêt classique pour ma société d’exploitation, ce qui m’a permis de diminuer l’exposition aux risques auprès des banques. Sans SOCOREC, je n’aurais jamais pu monter ce projet. C’est le partenaire indispensable pour offrir un tremplin à des projets porteurs d’avenir. 

 

 

PRÊTS PARTICIPATIFS JUSQU’À 12 ANS

#PRÊT  Du nouveau pour les commerçants associés : SOCOREC propose désormais des prêts participatifs d’une durée de 7 à 12 ans, dont 3 à 5 ans de franchise en capital. Les taux varient de 3,70 % à 4,95 % en fonction de la durée du prêt et de la durée de franchise. Assimilés à des quasi-fonds propres, les prêts participatifs viennent en complément d’apport pour tout investissement : création ou reprise de point de vente, équipements, travaux, etc. En souscrivant un prêt participatif SOCOREC, les commerçants associés préservent leur autonomie financière et leur capacité d’endettement pour financer leurs projets, sans garantie sur les actifs à financer de l’entreprise.

 

 

La confiance, un investissement essentiel

 

#TEMOIGNAGE  Après avoir repris une entreprise, Christopher Quillet est propriétaire, à 29 ans, du magasin SUPER à Étrépagny, en Normandie. La raison de son succès ? Des relations de confiance construites pas à pas.   

Comment êtes-vous passé de salarié à chef d’entreprise ? 

J’ai toujours eu envie d’être chef d’entreprise. Cette motivation profonde m’a servi de guide pour mes études et mon parcours professionnel. Après mon diplôme dans une école de commerce, j’ai intégré la grande distribution et j’ai gravi tous les échelons chez Système U.  C’est aussi un état d’esprit, car il faut du courage, de la conviction et de la détermination pour devenir entrepreneur. Et c’est enfin de belles rencontres, celles qui vous mettent en confiance et vous font grandir. 

 Quelles ont été les rencontres déterminantes dans votre parcours ? 

Mes anciens patrons, propriétaires de plusieurs magasins U, ont cru en moi. Ils m’ont confié un poste de direction, transmis leur expérience et leur savoir-faire. Je leur ai apporté un regard neuf et mon dynamisme pour contribuer à pérenniser leurs entreprises. Puis, ils m’ont inscrit à une formation interne pour passer de directeur à propriétaire de magasin et devenir associé Système U. C’est en faisant mes preuves que le lien de confiance s’est construit jour après jour et m’a permis d’accéder à un vaste réseau. C’est ainsi que j’ai pu saisir l’opportunité de reprendre un magasin en Normandie et connaître SOCOREC, un interlocuteur atypique, pour m’accompagner dans le financement de mon projet. 

Qu’est-ce-qui distingue SOCOREC d’un autre établissement financier ? 

Le lien humain est à la fois simple, fluide, concret. Mes interlocuteurs sont des spécialistes du commerce associé. Nous parlons la même langue. Ils connaissent les difficultés rencontrées, les leviers à activer et les solutions personnalisées à mettre en place.  Je suis jeune, sans patrimoine, et j’ai conscience que le risque était élevé. Mes interlocuteurs SOCOREC ont cru en moi. Avec eux, j’ai aussi partagé mes craintes, mes doutes et mes ambitions. Nous avons noué une relation de confiance réciproque qui va bien au-delà d’un engagement financier. Cette valeur humaine-là a une saveur toute particulière et je m’en souviendrai toute ma carrière.